https://shoutout.wix.com/so/8cNfKseHy?languageTag=en#/main

https://shoutout.wix.com/so/8dNfn0II_?languageTag=en#/main

https://shoutout.wix.com/so/3fNemAf4D?languageTag=en#/main

https://shoutout.wix.com/so/3dNe6ALMm?languageTag=en#/main

Application : _ClassroomscreenLien : https://classroomscreen.com/En tant qu’enseignants, nous avons tous envie de donner une vie à nos pratiques de classe, tant dans le déroulé des activités, la participation des apprenants que dans l’interaction pédagogique. Classroomscreen joue bien ce rôle. Vous pouvez l’utiliser comme fond d’écran sur votre vidéoprojecteur en classe, de façon à soutenir vos activités pédagogiques, stimuler l’engagement de vos apprenants et les aider à se mettre au travail en utilisant les outils intuitifs de Classroomscreen.En plus de servir de tableau numérique, Classroomscreen vous permet de désigner un apprenant au hasard, lancer des dès virtuels, mesurer le niveau sonore dans la classe, créer des QRCodes, dessiner, écrire, afficher des symboles de travail, chronométrer une activité, afficher un feu rouge-vert, afficher l’horloge, montrer le calendrier de la classe, etc. Autant d’astuces pour motiver les apprenants et maintenir leur engagement dans l’apprentissage.Pour l’utiliser, c’est simple : vous n’avez pas besoin de créer un compte ou de se connecter. Il suffit de se rendre sur la page d’accueil de l’application, et le tour est joué. De même, vous n’aurez absolument pas besoin de grosse préparation : la prise en main est immédiate.Elle est gratuite, enfin, presque!Elle est magnifique surtout si vous utilisez un écran tactile.Seul bémol:_ Vous devez être connecté à l’internet pour pouvoir l’utiliser.

Application : _La Digitale_Lien : https://ladigitale.dev/Si vous avez besoin de varier vos pratiques de classe tout en les agrémentant, je vous suggère de tester la digitale. La digitale est une boîte d’outils numériques entièrement gratuits conçus pour les enseignants. La boîte vous propose 15 applications pédagogiques utilisables autant à distance qu’en présentiel. Parmi ces outils, je peux citer : *Digiboard, Digibunch, Digibuzzer, Digicalc, Digicard, Digicode, Digidoc, Digiface, Digilink, Digimindmap, Digipad, Digiplay, Digiquiz, Digiread, Digiscreen, Digisteps, Digistorm, Digitools, Digiwords.* Chacun d’eux permet de faire jouer un rôle pédagogique précis. Je les ai testés dans mes classes ; et je les ai trouvés géniaux et très faciles d’utilisation.

Application : paraphraser.ioLien : https://www.paraphraser.io/Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous présenter une application académique dans laquelle enseignants et étudiants peuvent trouver leurs comptes. En même temps, cette application peut faire l’objet de polémique éducative. Il s’agit de « paraphraser.io ».Comme son nom l’indique, « paraphraser.io » est un outil de paraphrase, capable de réécrire et reformuler un texte, et donc de déjouer, en quelque sorte, « l’intelligence » des logiciels anti-plagiat.Il suffit de coller ou téléverser votre texte original dans le cadre prévu à cet effet, puis de cliquer sur « paraphrase now » après avoir coché la case : « Je ne suis pas un robot ». Et le tour est joué : vous avez votre nouveau texte réécrit, qui garde son sens original.Utile ou pas, on peut bien discuter sa pertinence pédagogique.Il existe plusieurs variants de l’application « paraphraser.io » comme « paraphraz.it » et « editpad.org ».

Application : REPEDALien : https://www.repeda.com/En tant qu’apprenants, nous faisons des petites fiches de mémorisation. De fois, nous nous exerçons avec des camarades au jeu de questions-réponses afin d’améliorer notre capacité de mémorisation. L’application Repeda médiatise ces deux types de tâche, et même plus.Repeda est un service en ligne qui vous permet de créer des flashcards pour ensuite vous les rappeler à des intervalles réguliers pour vous aider à réviser ou mémoriser vos informations. Pendant que vous créez vos flashcards, vous soulignez les mots importants, qui seront masqués lorsque vous passerez en mode Quiz. Cela vous permet de vous tester et vérifier si vous avez bien appris vos cartes. N’importe quelle carte de Repeda peut être transformée en une carte quiz. Il est aussi possible de transformer une page web en un flashcard en surlignant le texte à conserver. Il est possible d’enrichir ses cartes mémoires de tags et couleurs, tout en étant capable de les classer et planifier.Repeda utilise l’apprentissage par répétition espacée, qui favorise l’apprentissage à long terme.

Maîtriser l’usage des homophonesCe site propose 24 tests pour évaluer la maitrise des homophones. Ces tests permettront de mesurer vos habiletés dans ce domaine. La réponse correcte vous est donnée pour chaque question. Votre résultat est aussi affiché. Ce site utilise l’orthographe rectifiée.http://cyberprofesseur.net/homophones/…

Vérifier le plagiat dans Google ClassroomDésormais, Google Classroom permet de comparer le texte d’un travail d’élève à ce qui se trouve sur Internet, afin d’en vérifier le degré d’originalité. Ainsi, l’enseignant est en mesure de savoir à quel point la rédaction d’un texte est dans les mots de l’élève et non pas du contenu directement trouvé (copié) sur le web. Cette option disponible pour 5 travaux par année!Bien vouloir lire la page de support Classroom sur ce sujet.https://support.google.com/edu/classroom/answer/9335816…

OUTIL: READERPENLien: https://www.mysoft.fr/…/dyslexieexamreadercpenstylovoca…Aujourd’hui, je vous invite à la découverte d’un outil particulier et spécial, qui pourrait révolutionner l’éducation inclusive. Il s’agit de ReaderPen. ReaderPen est un stylo numérique qui aide à la lecture et la compréhension d’un texte. Il permet de surligner un texte, ligne par ligne ou à l’intérieur d’une ligne. Le texte scanné par le stylo numérique est instantanément reconnu, analysé par reconnaissance optique de caractères, puis lu à voix haute par une voix de synthèse de grande qualité. Très cool pour les enfants dyslexiques et faiblement voyants.Le stylo vocal est fourni avec un petit casque, ce qui permet à l’élève de l’utiliser en classe sans déranger ses camarades. Par ailleurs, ReaderPen intègre un dictionnaire dynamique particulièrement riche permettant de consulter la définition d’un mot.ReaderPen reconnait et parle plusieurs langues et sait s’adapter à l’utilisateur. Le stylo peut donc être utilisé comme un outil d’apprentissage de la lecture d’une langue.Enfin, ReaderPen permet de scanner, sauvegarder, enregistrer du texte et aussi… écouter de la musique. Autre grande fonction du ReaderPen, il sert aussi d’enregistreur numérique avec lequel on peut prendre des notes sonores et les écouter le moment venu.ReaderPen est un bon exemple de ce que la technologie peut faire pour l’éducation, l’apprentissage de la lecture et l’école inclusive. Ce n’est pas un gadget, il s’agit d’un outil complet qui va permettre de favoriser, entre autres, l’autonomie des élèves dyslexiques en difficulté dans la lecture de textes.Le ReaderPen est fourni avec des oreillettes et un câble USB pour sa recharge. Il coûte environ 177.000 F CFA (269 €). Il fonctionne en Français, Anglais et Espagnol.Un outil joue presque mêmes les fonctions que ReaderPen: c’est ExamReader qui, lui, coûte 228.000 FCFA.

Application : FOLGELien: https://folge.me/Fonction : Créer facilement un didacticielNous avons parfois besoin d’expliquer à une personne comment fonctionne tel outil ou tel produit. Folge peut être d’une utilité incroyable pour ce besoin. L’application Folge permet de réaliser un tutoriel de prise en main d’un logiciel, par exemple, pas-à-pas. Le principe est simple.Il suffit de lancer l’outil et de travailler ensuite sur l’application dont vous souhaitez créer un mode d’emploi. À partir de là tout est capturé automatiquement. Chaque fois que vous cliquez pour accomplir une action, à chaque clic de souris, Folge réalise une capture d’écran. Après avoir édité votre didacticiel, vous pouvez l’exporter facilement dans PowerPoint.Folge est gratuit, enfin, presque!

Application : CORELien : https://core.ac.uk/Fonction : Recherche documentaireCore est un excellent moteur de recherche pour chercheurs et étudiants, et se présente sous la forme d’un moteur de recherche, un peu à la façon de GoogleScholar et de quelques autres moteurs de recherches bibliographiques. Pour prendre toute la mesure de la puissance de Core, il suffit de lancer une recherche en ligne sur n’importe quel sujet qui vous passe par la tête ou qui vous intéresse. En quelques secondes, Core vous affiche une liste copieuse de résultats : articles de Revues, thèses, rapports, publications, etc.Un deuxième clic vous permet d’accéder à la présentation de la ressource, une sorte de carte d’identité complète avec origine, source, auteur, année, résumé. Encore un clic et vous pouvez consulter l’intégralité du document en ligne.Vous pouvez aussi, la plupart du temps, télécharger votre document au format PDF. Core recueille des documents de recherche auprès de fournisseurs de données du monde entier, y compris des dépôts institutionnels et thématiques, des éditeurs de revues en libre accès et hybrides. Core contient actuellement 209 949 331 articles en libre accès.La plateforme qui fait partie du projet “The OpenUniversity” en Angleterre propose des fonctions de recherche avancée qui vous aideront à trouver votre bonheur dans ce gigantesque hangar numérique dédié à la recherche et à la connaissance. La première recherche se fait par défaut en texte intégral. Vous pourrez ensuite appliquer des filtres pour réduire et affiner les résultats, par langue, par source, par ancienneté, par auteur, etc.

Application : Lazy ScholarFonction : Recherche documentaire académiqueLien : http://www.lazyscholar.org/Il nous arrive parfois de ne pas pouvoir accéder au texte d’un article jugé pertinent en raison de son coût financier. Cela devient angoissant surtout lorsque toutes les tentatives de contourner cet obstacle financier nous amènent au même résultat. Cependant, de plus en plus d’outils permettent de sauter le verrou économique qui séquestre l’accès à la connaissance. Parmi ces outils, il y a Lazy Scholar, qui recherche automatiquement le texte intégral d’un article recherché. Le nom de l’application sonne certes bizarre ; mais l’idée qui en résulte, est que l’application se propose de faire le gros du travail de recherche à votre place.Il suffit d’accéder à la page de présentation d’un article, et Lazy Scholar se met au travail pour retrouver son texte intégral gratuit. En dehors de mettre à votre disposition les textes recherchés, Lazy Scholar fournit aussi diverses mesures de citation et une écriture préformée des références bibliographiques dans plus de 900 styles de citation. Lazy Scholar est capable de vous faire de nouvelles recommandations de recherche, d’enregistrer l’historique de vos recherches et de vous proposer des articles connexes.Il suffit d’installer le plugin dans votre navigateur.

Application : EquatIOFonction : Écriture des formules et équations mathématiquesLien : https://chrome.google.com/…/hjngolefdpdnooamgdldlkjgmdc…L’écriture des équations et expressions mathématiques est l’une des tâches d’apprentissage les plus difficiles à médiatiser sur ordinateur. Mais pas vraiment, car EquatIO existe depuis environ cinq ans.EquatIO est une extension qui permet de créer facilement des équations mathématiques, des formules et des quiz. Il suffit de tapez ou écrire à la main de manière intuitive, sans avoir à apprendre un code mathématique complexe.EquatIO rend les mathématiques numériques, en aidant les enseignants et les élèves de tous niveaux à créer des expressions mathématiques rapidement et facilement.EquatIO transforme instantanément vos idées en formules claires et précises à l’écran. Par exemple, lorsque vous tapez « sq », il sait que vous voulez dire « racine carrée ». Et il écoute aussi. Lorsque vous dictez une formule à haute voix, EquatIO est suffisamment intelligent pour ignorer les « humms », « errs » et autres mots non mathématiques indésirables.Plus qu’un remplacement du stylo et du papier, EquatIO rend les mathématiques attrayantes et gratifiantes pour chaque élève.EquatIO est compatible avec Google Docs, Forms, Slides, Sheets, Drawings et LaTeX.À Lundi!https://youtu.be/ffQDCSC67dQ

Application : Sci-HubFonction : Piratage des articles scientifiques Lien : https://sci-hub.se/Aujourd’hui, je vous raconte l’histoire derrière la plateforme de recherche académique https://sci-hub.se/, considéré comme un site pirate dans les universités occidentales et comme une aubaine pour celles des pays en développement.C’est l’histoire de Kazakh Alexandra Elbakyan, alors doctorante en neurosciences à l’université d’Astana au Kazakhstan. Pour ses recherches, elle se rend compte qu’elle a des difficultés pour avoir des articles scientifiques auxquels, pourtant, elle accédait facilement lorsqu’elle étudiait à l’Université de Fribourg-en-Brisgau en Allemagne. Car à la différence de cette dernière, son université n’était pas assez riche pour payer des abonnements à des gros éditeurs de revues scientifiques. À titre d’exemple, les universités californiennes paient en moyenne, chaque année, 8 millions de dollars, l’accès à la base de données d’Elsevier, le géant hollandais de l’édition scientifique. Elle se voit alors en train de payer, à titre personnel, des articles à 32l'unité. Or, payer 32 par article est très coûteux pour un étudiant, surtout que certains des articles payés ne seront que survolés.Frustrée et rebelle, elle trouve un moyen de les pirater. Elle intègre alors des communautés des pirates documentaires, très actifs dans des forums, réseaux sociaux et mailing lists. Elle décide, elle-même, de créer, en 2011, un site afin de simplifier le piratage des articles scientifiques. Elle lui donne le nom de Sci-Hub, dont la devise est: « removing barriers in the way of science ».Le principe est, en effet, très simple : on entre l’identifiant standard d’un article scientifique (son DOI) et on obtient un fichier PDF de l’article scientifique en question. Le site ne requiert pas d’inscription, ni d’identification nécessaire, encore moins de publicité.Avec 62 millions d’articles stockés et référencés, près de 700 000 téléchargements quotidiens et des millions de visiteurs réguliers sur tous les continents, Sci-Hub s’est imposé, aujourd’hui, comme une source majeure de documentation scientifique. Le site se définit, lui-même, comme le premier site web au monde à fournir un accès massif et public aux documents de recherche.Interdit dans les pays occidentaux dont les États-Unis et la France, et combattus par les géants éditeurs scientifiques comme Elsevier et Springer, Sci-Hub s’avère un outil pour les chercheurs des pays pauvres, qui n’ont généralement pas les moyens de se payer les abonnements coûteux aux bases de données académiques.

Application : LudwigFonction : Moteur linguistique de recherche de phrases anglaises dans leurs contextesDevise : “Find your English sentence”Lien : https://ludwig.guru/En commentant le post « Un jour, une app » d’hier dans un forum WhatsApp, un membre a utilisé le mot « guru ». Je me suis souvenu que « .guru » est aussi un domaine internet, identifiant entre autre le site « ludwig » : https://ludwig.guru/Ludwig est un moteur de recherche linguistique en ligne qui aide à maîtriser la langue anglaise. Mais derrière ce moteur, existe également une histoire, celle du chercheur Antonio Rotolo.Italien, il rencontrait des problèmes dans la rédaction anglaise lors de ses études et recherches. Car écrire dans une langue qui n’est pas la vôtre, demande plus de temps que d’habitude et ne peut être uniquement résolu par les services de traduction en ligne. D’ailleurs, ces derniers se trompent souvent. Devant poursuivre une carrière internationale, l’italien Antonio Rotolo était tenu de publier ses articles en Anglais. Et, après six mois au MIT, il eut l’idée d’un nouveau type de traducteur en ligne : Ludwig (https://ludwig.guru/), similaire à l’application reverso et complémentaire à Google Translate ou Deepl. Ludwig existe en ligne depuis février 2016.Antonio Rotolo a donné le nom Ludwig à l’application en hommage à Monsieur Ludwig Wittgenstein, un philosophe du langage, pour qui « le sens est déterminé par le contexte ». Et le contexte est exactement ce que seul Ludwig fournit, en recherchant dans une base de données de millions de sources fiables.Ludwig est un moteur de recherche linguistique conçu pour aider les gens à écrire des phrases anglaises correctes. Il est le premier moteur de recherche de phrases qui aide à écrire un meilleur anglais en donnant des exemples contextualisés tirés de sources fiables.Mode d’usage Pour utiliser Ludwig, il suffit de taper dans la barre Ludwig, non pas la phrase qu’ils veulent traduire, mais leur meilleure estimation de la traduction anglaise dont ils ont besoin. Ensuite, un algorithme compare cette phrase avec une base de données d’exemples contextualisés, provenant tous de sources fiables. Ludwig affiche ensuite une liste de résultats, permettant aux utilisateurs de vérifier leurs phrases et d’apprendre la bonne, en fonction de son contexte.Très pratique, n’est-ce pas ?À demain!https://www.youtube.com/watch?v=ZgIHx2aCcPE

Application : HowJSayFonction : Aide à l’amélioration de la prononciation en AnglaisLien : https://howjsay.com/Travailler la grammaire, le vocabulaire et l’orthographe est déterminant pour maîtriser la langue anglaise. Mais il est incomplet. La maîtrise de la langue anglaise passe aussi par l’apprentissage d’une prononciation correcte des mots, expressions et phrases.L’application HowJSay a été justement pensée pour aider les apprenants de la langue anglaise à améliorer la prononciation. Son nom est d’ailleurs assez évocateur : HowJSay = « How je say » (Comment dois-je le dire).Howjsay a créé une base de données assez impressionnante des mots et expressions de la langue anglaise. Lorsque vous voulez savoir comment se prononce un mot, il suffit de l’insérer dans la fenêtre de recherche du site. Aussitôt Howjsay le retrouve, ainsi que toutes les expressions contenant ce mot, et d’un clic vous pouvez en écouter les prononciations dans un anglais irréprochable. Howjsay ne s’encombre pas de fonctions compliquées. Il ne fait que cela, mais il le fait bien. Il fonctionne aussi sur mobile. Seul petit bémol : la publicité visuellement un peu encombrante.

Application : ScribbrFonction : Logiciel anti-plagiatLien de la version française : https://www.scribbr.fr/Lien de la version anglaise : https://www.scribbr.com/Chaque seconde, 29.000 Gigaoctets (Go) d’informations sont publiés dans le monde, soit 2,5 exaoctets par jour soit 912,5 exaoctets par an. Dans ce « big data » qui croit à une vitesse vertigineuse, figure la littérature académique : livres, articles, thèses, mémoires, rapports. L’on estime d’ailleurs que plus de 95% d’informations académiques se trouvent sur le web.Dans ce contexte, l’évaluation des travaux académiques devient délicate et a affaire autant avec l’originalité des apprentissages qu’avec leur dimension éthique. À partir du moment où la réalisation de ces apprentissages importe des données en ligne, l’évaluation doit aussi intégrer des outils numériques de vérification des sources. Parmi ces outils, je vous présente ScribbrScribbr se présente sur son site comme étant le meilleur des logiciels anti-plagiat en ligne. En tout cas, il c’est incontestablement une des meilleures solutions actuelles. Ce logiciel anti-plagiat utilise une technologie de pointe, celle de Turnitin, afin de comparer votre document à une base de données constamment mise à jour. Votre document sera comparé avec plusieurs milliards de sources, afin de détecter les similarités et le plagiat en ligne. Les résultats sont très clairs et permettent d’intervenir rapidement de manière ciblée pour supprimer tout doute sur la valeur du texte soumis. Scribbr n’est malheureusement pas gratuit. Le tarif est calculé selon la longueur du document soumis.En dehors d’être un détecteur de plagiat, Scribbr est un excellent outil qui aide dans la relecture et la correction des travaux académiques et la génération des références bibliographiques, et fournit d’importantes ressources académiques.

Application : HiveSocialFonction : Réseau socialLien de la version française : https://www.hivesocial.app/Aujourd’hui, c’est le 11 février, la fête de la jeunesse du Cameroun. Le thème retenu pour cette année insiste sur la participation et l’engagement des jeunes dans la construction de leur nation. Au coeur de cette participation, le thème souligne le volontariat. Lorsqu’on allie participation et volontariat, on n’est pas loin des valeurs qui intéressent les jeunes aujourd’hui. Au centre de ces valeurs, se trouve évidemment le numérique. Oui, le numérique peut constituer la voie de l’engagement volontaire des jeunes à l’égard de leur pays. Je me suis aventuré à identifier les applications numériques les plus téléchargées par les jeunes en 2021. À la tête de la liste, on trouve bien sûr WhatsApp, TikTok et Instagram. Mais il y a aussi Hive Social.Hive Social est un réseau social, dont le slogan est : « Socialize on Hive ». « Hive », de l’Anglais, signifie « ruche » en Français, la « maison des abeilles ». Nous savons tous les symboles qui sont autour de la « ruche » : refuge, dynamisme, grouillement, échange, organisation, structuration et distribution de rôles.« Hive Social » est à cette image de la ruche. Il permet de redonner vie à ce qu’on aime et non à ce que la technologie pense qu’on aime. « Hive Social » donne, par exemple, la même importance aux informations et membres de votre réseau: par exemple, tous les amis sont affichés équitablement dans l’ordre chronologique.Dans le domaine de l’apprentissage, « Hive Social » peut aider à médiatiser nos pratiques et interactions pédagogiques. Ajouter du social et de l’animation au climat d’une classe est une façon originale d’apprendre, dans la gaité, le plaisir, la joie, l’épanouissement et le bonheur.J’ai choisi cette application à l’occasion du 11 février, car elle est celle qui traduit le plus le thème de cette fête de la jeunesse : la volonté dans l’engagement à l’égard de son pays. C’est aussi une application qui, utilisée en apprentissage, montre que former un enfant, ce n’est pas s’acharner sur lui ni le torturer; former un enfant, c’est lui témoigner la joie et le délice d’être à l’école. Hive Social.

Application : ClassDojoFonction : Gestion de classe en ligneLien : https://www.classdojo.com/Aujourd’hui, c’est le 14 février. Les amoureux célèbrent l’amour, ce lien social très particulier et unique que chacun de nous aime ressentir et vivre. Nous avons besoin de l’amour dans tout contexte faisant intervenir l’interaction, y compris celui de l’apprentissage.Philippe Meirieu parle de la pédagogie du plaisir et de la bienveillance. Les neurosciences affectives montrent en effet qu’un climat bienveillant, affectif et sécurisant, mêlé de confiance, de douceur et d’empathie, est nécessaire au développement de l’apprentissage et de la personnalité des apprenants.En accord avec cette pédagogie, Sam Chaudhary et Liam Don créèrent en juillet 2011, l’application ClassDojo, après avoir étudié les opinions d’une centaine d’enseignants sur « comment améliorer l’apprentissage ».ClassDojo est une plateforme de gestion de classe en ligne, où les enseignants peuvent enregistrer et suivre le comportement des élèves, faciliter les activités de la classe, organiser les portfolios des élèves et communiquer avec les parents. L’objectif est d’instaurer une culture de classe positive, engageante et affective. Elle établit des liens significatifs entre parents, enseignants et apprenants, pour donner à ces derniers l’éducation qu’ils aiment. Les enseignants peuvent ainsi encourager chez les élèves toute compétence ou valeur, quelle qu’elle soit, qu’il s’agisse du travail assidu, de l’amabilité, d’aider les autres ou de toute autre chose. De même, les élèves pourront présenter et partager leurs apprentissages en publiant des photos et des vidéos sur leurs pages personnelles. En permettant de partager des photos et vidéos des moments mémorables en classe, ClassDojo implique davantage les parents, qui sont au courant du déroulement des apprentissages de leurs enfants « in situ ». ClassDojo.ClassDojo est entièrement gratuit!Idéal si vous dirigez une école primaire ou si vous projetez d’en construire une.

*Application : _URL.ME_**Fonction Réducteurs de liens internet

Lien ?https://urlr.me/

Il nous arrive parfois d’être embêté par un long lien internet que nous voudrions partager dans nos réseaux ou à nos abonnés. Supposons que vous souhaitez partager un lien sur Twitter. Si ce lien est long, il ne vous restera plus vraiment de place pour transmettre votre message, limité à 280 caractères sur Twitter. *Solution : Il faut raccourcir l’URL.*URL.ME joue bien ce rôle. C’est un service en ligne qui vous offre une nouvelle URL très courte et plus facile à partager : sur Twitter, dans des ebooks, dans un post marketing ou sur des supports imprimés, etc. Il rend donc vos URL attrayants, les analyse au passage, et vous donne la possibilité de les personnaliser.Sur URL.ME, il suffit de coller le lien à raccourcir dans l’espace réservé à cet effet, puis de confirmer que vous n’êtes pas un robot, et enfin de cliquer sur le bouton « réduire ». Il ne vous restera qu’à copier le lien, et à le partager. Un compte sur URL.ME vous permet de sauvegarder vos URL réduits.En dehors d’URL.ME, il existe d’autres « URL Shorteners » : Bitly, Tinyurl (le plus ancien), Rebrandly, Hyperlink, Vu.fr, bzh.me, Tynicc, Shorby, Cutt.ly, Firebase Dynamic Link, etc.L’usage des réducteurs d’URL n’est cependant pas sans conséquences. Si l’application que vous avez utilisée pour raccourcir votre URL est interrompue, votre lien cessera aussi de fonctionner. Il mourra. Certaines plateformes de médias sociaux, comme Wikipédia et Yahoo! Answers, n’acceptent pas les liens raccourcis. Pour les utilisateurs des liens réduits, veuillez toujours vérifiez le lien avant de cliquer dessus. Le moyen le plus simple consiste simplement à placer votre curseur sur le lien réduit et vous aurez une idée vers laquelle l’URL raccourcie pointe exactement. Veuillez ne pas cliques sur un lien partagé par une personne inconnue. Si un lien raccourci est partagé par e-mail, veuillez attentivement lire l’e-mail pour détecter les signes de spam.

Application : OnlyOfficeFonction : Une suite bureautique gratuite multiplateforme pour l’éducation

Lien du téléchargement : https://www.onlyoffice.com/fr/desktop.aspx?affChecked=1

Si vous cherchez une alternative à Microsoft Office, je vous suggère OnlyOffice. Cette application possède tous les outils dont vous avez besoin pour travailler avec les documents texte, les feuilles de calcul, les présentations et les formulaires à remplir sur Windows, Linux, et macOS. Vous pouvez créer, afficher et modifier les documents de toute taille et complexité, et dans plusieurs formats. Elle vous donnent la possibilité de traiter plusieurs fichiers dans la même fenêtre grâce à l’interface utilisateur basée sur des onglets. Vous pouvez également connecter votre ONLYOFFICE Desktop Editors à la plate-forme cloud de votre choix : ONLYOFFICE, Nextcloud, ownCloud, Seafile, Liferay, ou kDrive, pour collaborer sur les documents avec votre équipe (co-éditer en temps réel, réviser, commenter et interagir en utilisant le chat).Lien du téléchargement : https://www.onlyoffice.com/fr/desktop.aspx?affChecked=1

Application : PlagiumFonction : Dépister les copier-coller.

Lien : http://www.plagium.com/

De toutes les fraudes académiques, le plagiat est celle qui ne peut s’établir qu’à partir d’évidences matérielles. L’élément querellé ne peut, en effet, être détruit. Si l’œil averti du correcteur peut, dans certains cas, détecter des traces de copier-coller dans un texte, il s’avère aujourd’hui très limité et trompeur du fait de l’enrichissement des éditeurs web de nombreuses polices et caractères d’écriture. On ne peut donc pas se fier à « l’œil nu » pour détecter le plagiat dans un texte. Voilà pourquoi des outils numériques sont pensés et utilisés. Au moment où les universités « se dématérialisent » de plus en plus, faisons confiance au numérique, dans une posture réflexive et critique.La semaine dernière, je vous ai proposé scribbr, qui se définit comme le meilleur des logiciels anti-plagiat en ligne. Aujourd’hui, je vous propose un outil de « originality checking »: Plagium.Plagium est assez efficace pour retrouver des copier-coller intempestifs dans un texte, en utilisant une technique spéciale qui découpe intelligemment le texte en de petits syntagmes. Après l’avoir ainsi découpé, il compare ces extraits au contenu du web, afin de déterminer les documents correspondants. Le résultat est de qualité ; mais l’application prend assez de temps pour opérer l’analyse des textes qui lui sont soumis.Plagium est gratuit pour des recherches simples. Pour les fonctions expertes, le tarif est calculé à la page.

Application : FlourishFonction : Visualiser les données sous forme d’illustrations imagées.

Lien : https://flourish.studio/

Flourish est un outil de datavisualisation, gratuit, et très facile à prendre en main Il est assez facile à prendre en main et il est gratuit. Flourish est suffisamment simple pour être utilisé par n’importe qui…ou presque. L’application est fournie avec un large choix de modèles (templates) à partir desquels vous pouvez aisément créer un visuel des données interactifs de qualité à intégrer dans un site ou dans un rapport, à partager sur un réseau social ou à utiliser dans une présentation. Avec Flourish, vous pouvez transformer facilement vos données en graphiques, cartes et récits interactifs impressionnants, autour desquels d’ailleurs il est possible de construire une narration. En janvier dernier, Flourish a été acquis par Canva, un outil de création graphique que je vous présenterai un de ces jours.

Application : Work With Data

Fonction : Donner accès aux données publiques

Lien : https://www.workwithdata.com/

Nous avons parfois besoin des données publiques pour documenter nos recherches. Mais où pouvons-nous en trouver sur les conflits, le COVID-19, l’accès internet, la liberté d’expression, les universités, les entreprises économiques, les populations rurales ou l’égalité de genre ? Comment pouvons-nous utiliser ?

La plateforme « Work With Data » répond à ces préoccupations en permettant à chacun d’obtenir des données sur tout. Sa devise est : « We make data accessible to everyone & on everything ». Elle est une source inépuisable de données publiques accessibles à tous. Elle comporte actuellement 3,98 millions de sujets et d’entités à travers 3,44 milliards de sources de données, le tout compilé dans des formats enrichis combinant différentes sources fiables dans tous les formats imaginables : graphiques, tableaux, cartes et ensembles de données. Ses données viennent des grands musées internationaux, des gouvernements, des grandes institutions internationales, des grandes universités, des grandes bibliothèques, etc., dont elle transforme les informations complexes et brutes en ressources utilisables grâce à une interface claire et facilement exploitable.

Il vous suffit d’explorer les catégories thématiques des sujets ou utiliser la barre de recherche. Un moteur de recherche et un système de mots clés vous permettent d’aller plus sûrement aux ressources qui vous intéressent. Un système de filtres vous permet ensuite d’élargir ou de réduire le nombre de données présentées. Chaque sujet est accompagné des liens vers les sources des données ainsi que des invitations à consulter des données liées au sujet exploré.

La plateforme est gratuite durant les 30 premiers jours de son utilisation. Elle est gratuite pour les journalistes. Des rabais préférentiels sont accordés au monde de l’éducation.

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